De la confiance pour les dirigeants

Mains unies en équipe

C’est cette méfiance qui nous divise, nous sépare, par le doute que l’autre fait le mal intentionnellement.

Pourquoi un inconnu chercherait-il à nous faire du mal?

Pourquoi un inconnu nous considèrerait-il comme un ennemi?

Alors que cette méfiance s’accentue avec les mesures oppressives – le couvre-feu étant une mesure afin d’obliger la population à suivre les mesures sanitaires, et donc n’étant pas elle-même une mesure sanitaire –, on peut se questionner sur les fondements de la confiance. Ou plutôt comment la cultiver.

En effet, comment cultiver la confiance envers autrui?

Tout d’abord, cultiver la confiance en soi favorise la confiance envers autrui, inévitablement. On m’a souvent dit que le monde ne tourne pas autour de moi. Comme la plupart des affirmations, eh bien, c’est relatif.

Sans régresser à l’anthropologie du Moyen-Âge, on peut en comprendre que le fait de moduler son univers immédiat modifie directement et indirectement nos relations avec autrui. Partir de soi par le développement personnel infini, puis de son occupation principale et ses loisirs, et de ses relations avec autrui, en commençant par nos relations quotidiennes et répétées.

Bien sûr, si je ne respecte pas mon temple corporel, pourquoi les autres me respecteraient? La Loi de l’Attraction démontre qu’on attire ce que l’on projette, ce qu’on incarne. J’ai moi-même expérimenté par mon comportement cette Loi universelle.

En effet, lorsque je consomme et que je me présente intoxiqué aux gens – peu importe les toxines –, je constate que les gens déversent leurs émotions négatives sur moi étant donné que je suis moi-même chargé de ses vibrations toxiques. Autrement dit, j’ai la poisse dans mes actions et relations. Et vice-versa. Donc, lorsque je suis « clean », j’attire l’entraide, le rire, la joie et le plaisir.

Donc, je cultive mon bonheur et mon respect pour attirer ce bonheur et le respect. Lorsque je pars du constat que les gens ne commettent pas le mal par intention (deuxième maxime de Socrate) mais plutôt par ignorance de soi, je peux alors devenir empathique, ou du moins, d’éviter l’ombre en projetant la lumière. Cette ombre généralisée au sein des dirigeants, qui à leur tour utilise leur pouvoir pour manipuler les raisons, amène inévitablement les gens à douter les uns des autres (c’est ce qu’on valorise dans les médias, la dénonciation et la distance), alors que nous avons besoin plus que jamais d’union et de rapprochement.

Pourquoi des gens désincarnés devraient-ils dicter la conduite à suivre?

Pourquoi des humains ont-ils besoin de cette quantité de pouvoir?

D’ailleurs, qui a demandé à être dirigé?

Eh oui, je suis sensible. J’ai besoin de prendre ça cool pis de voir du monde.

Les mesures oppressives mises en place par l’État favorisent l’expansion de la destruction. Les géants du web augmentent leur influence, alors qu’ils nous présentent le néant sur un plateau d’argent (virtuel). Les géants industriels augmentent leur revenu, alors qu’ils nous vendent du vide (réel).

Peu importe nos différences, l’union sociale dans le sens de rassemblements et de festivités tisse des liens, fortifie notre cohésion et améliore notre vie au quotidien, tout simplement. L’évidence de nos besoins sociaux n’est plus à prouver, je crois qu’on en ressent tous le manque. Et ce manque est comblé tranquillement par des habitudes qui deviennent malsaines par leur augmentation : écran, drogues, médicaments, malbouffe… Et ces habitudes provoquent de la méfiance, des troubles mentaux, de l’isolement cérébral…

Nos dirigeants ne font pas le mal par intention. Ils dépossèdent leur sensibilité, se laissent envahir par la peur et répondent constamment à des pressions extérieures et harcelantes. Drastique?

Je serais curieux de voir l’état de santé de nos dirigeants… Pour conclure, je propose de revoir nos fondements. Ironiquement, je pense que les mesures sanitaires peuvent en effet réduire la transmission de la COVID-19. Mais le paradigme – la façon de voir et de penser le monde – de la médecine moderne nous expose ses failles, bien qu’il soit toujours essentiel dans notre mode de vie.

Plutôt que de partir de l’idée qu’il faut réagir à la maladie, je pars de mon incarnation. Je mange des légumes verts, des germinations et plus de produits végétaux en général, je fais de l’exercice régulièrement, je bois de l’eau, je pratique la méditation et le yoga, etc.

Avant de réagir, j’agis. En mode action plutôt qu’en mode réaction.

À partir de cette idée – bien qu’elle soit imparfaite en elle-même, car aucun paradigme à lui seul ne peut définir l’existence –, le gouvernement, s’il veut vraiment le bien de la population, peut créer des programmes qui favoriseront le bien-être de la population.

Des exemples? On peut penser à créditer la nourriture biologique, à subventionner ce qui concerne l’activité physique et spirituelle (yoga, méditation, sports, groupes de marche, etc.), et à entreprendre un réel virage pour l’économie locale, écologique et sociale.

De l’incarnation découlent les relations sociales saines. Et c’est là le bobo, vous en conviendrez. En privant les gens de rassemblements et de festivités, on prive les gens du bonheur. Et, pour ma part, j’aime bien ça être heureux.

Bref, aidons-nous les uns les autres, prenons-nous en main et partageons l’existence, car nous allons tous mourir un jour, et ce serait bien dommage d’avoir peur de vivre avant de s’éteindre.

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