Ça va être difficile de faire une publication constructrice sur la propagande pro-vaccin du gouvernement.
Pendant que mon esprit digère l’information et que la colère contamine mes pensées, je cherche à transformer cette information en création.
Mais c’est un bon défi.
Au lieu de discriminer les gens par leur couleur de peau, on les discriminera sur leur adhésion à un système de santé déjà à l’agonie avant la covid et, par conséquent, à leur participation à l’endroit de la vaccination.
Bien sûr que beaucoup de gens vont argumenter toute sorte de choses : on cherche toujours à avoir raison. C’est ce qu’on apprend à l’école, les bonnes réponses.
Bien sûr que les médias veulent qu’on se fasse vacciner : les gouvernements achètent leur espace publicitaire et, par conséquent, les financent.
Bien sûr que la communauté médicale est majoritairement en faveur de la vaccination : ils y croient en adhérant uniquement au paradigme de la médecine moderne, et ainsi, les autres solutions et perspectives sont écartées du dialogue (inexistant).
Peur et division pour ainsi mieux régner.
Bon, je crois que mon point de vue est clair, et non, contrairement à la caste dirigeante, je n’ai pas d’intérêt caché derrière mon propos.
Mon intérêt est noir sur blanc.
Mon intérêt réside en l’union sociale, le pouvoir de la communauté, le travail de l’esprit, le développement personnel…
Je n’ai plus aucun espoir envers le système politique et démocratique.
Et mon espoir envers la gestion mondiale des ressources… je crois qu’il n’a jamais existé.
Mais le pouvoir, le réel pouvoir, est entre les mains des gens. Le pouvoir d’achat – j’en parle souvent – mais aussi le pouvoir créateur. Nous n’avons jamais appris, du moins à l’école, à maîtriser notre énergie.
Mais la maîtrise de l’énergie permet la création; la division et la peur favorisent la destruction.
Agir sous l’emprise de la peur nous amène à prendre des décisions irréfléchies.
La connaissance du bien et du mal nous permet de prendre des décisions éclairées. Ou, du moins, d’apprendre de nos erreurs pour ainsi mieux s’éclairer.
Je sais quand je fais le bien et le mal. Pas besoin d’argumenter ou de se justifier. Je connais mon pouvoir de création… et de destruction.
Agir sous l’emprise de la colère nous amène à brûler. Le feu transforme en cendres; la matière se consume et retourne au néant.
J’ai beaucoup de colère contre ce système alimenté par la peur, la méfiance et la division.
Les humains ont besoin d’union. J’ai besoin d’union. Mais pas à n’importe quel prix.
Je suis ferme devant le Diable qui tente chaque jour de me faire adopter des comportements destructeurs. Je connais le mal; le mal m’a côtoyé pendant plusieurs années.
Il rôde encore dans les parages, je crois qu’il y restera longtemps. Pouvoir créer le bien, c’est aussi pouvoir créer le mal.
La campagne de vaccination est un symptôme d’une désincarnation réitérée et martelée par les dirigeants.
Les propagandistes, les serviteurs du mal et les détenteurs du pouvoir n’ont pas intérêt à ce qu’on soit uni, sain et heureux.
Un être qui a réduit ses besoins artificiels à néant ne consomme pas, n’écoute pas les médias, et évite les structures institutionnels et gouvernementales. Cet être de lumière aveugle les familiers de la destruction qui contourneront le faisceau de la vérité.
Dans le noir, ils dansent sur l’ombre de leur cadavre tout en ignorant leur propre ignorance, emmitouflée d’un orgueil capitalisé par la peur et n’existant que pour détruire. Car c’est normal, pour eux.
Les familiers de la destruction ont oublié leur enfance, leur bonheur, et ainsi s’abreuvent de la vitalité des vivants – le mythe du vampire, par exemple.
Ils exécutent le sombre dessin du Diable tout en charcutant leur temple corporel et leur esprit divin. Car ils sont encore divins, comme tous les humains, même si cette divination est enfouie dans les catacombes de l’ignorance.
La maladie du chiffre qui règne dans le schéma cognitif des familiers de la destruction engendre peur, méfiance et division au sein de la population.
Or, ils ont aussi oublié le bonheur intrinsèque qui habite l’habitant : le travail de la terre, l’enracinement, l’union sociale, les festivités, la communauté.
Qui vibre seul, tombe seul et, comme l’arbre qui tombe seul dans la forêt, personne ne peut l’entendre.
Laissons les démons tomber dans l’ancienne civilisation, nous pourrons ainsi les oublier et passer à un stade supérieur de l’humanité.
Le stade de la consolidation, du dialogue, du partage, de l’équité et de l’Amour.
Je suis impuissant devant tant de souffrances généralisées et banalisées par les spectres de l’État.
Mais, unis, nous vibrons et vivrons.